Au XIXe Siècle, en 1864, dans la région de Stormfield, des créatures rôdent..
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Théa Maya Thorsen - Loup-Garou - Chasseuse de prime
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Théa Maya Thorsen
Théa Maya Thorsen

Carte d'identité
Ville actuelle: Straunbourg
Description Physique:
Relations du personnage:
Loup-Garou
Loup-Garou
Messages : 34
Date d'inscription : 05/07/2019
MessageSujet: Théa Maya Thorsen - Loup-Garou - Chasseuse de prime Théa Maya Thorsen - Loup-Garou - Chasseuse de prime Icon_minitimeVen 5 Juil - 3:29
Théa Maya Thorsen
▬ NOM : Thorsen
▬ PRENOM : Théa
▬ AGE : 22 ans
▬ TYPE : Loup-Garou
▬ VILLE D'ORIGINE : Secrète.
▬ VILLE ACTUELLE : Straunbourg
▬ SIGNE PARTICULIER : /

[Facultatif]
▬ TITRE : /
▬ MÉTIER : Chasseuse de prime / Contrebandière
▬ DON : Très bonne pour détecter les mensonges et se sortir de situations compliquées.
Caractère

Globalement attirée par la neutralité et motivée par son travail, elle ne peut s’empêcher d’allier haine de son passé, qu’elle a jugé tour à tour minable puis affreux et une acceptation presque joyeuse. Attirée par l’ombre, l’anonymat et les bas-fonds en général, elle cherche à profiter de la vie dans tous les sens du terme, devient toutefois parfaitement professionnelle dans le cadre du travail, qui lui tient particulièrement à cœur. Concentrée et méthodique, elle se veut droite dans ce qu’elle fait, efficace et fiable. Plus que son gagne-pain, elle tire un plaisir malsain à achever certaines vies, superpose parfois les situations, revoit son premier meurtre. Perspicace et méfiante, elle hésite entre un sens du devoir parfois inadéquat et un impératif : mettre en avant sa survie et ses intérêts. Impudique et bonne vivante, c’est une habituée des bars, sa bonne descente la mettant généralement en bons termes avec les habitués. Ne souffrant jamais des suites de ses abus, elle reste particulièrement lucide, perd très rarement ses moyens. Au premier abord peu bavarde et sèche, elle se fait amicale et souriante quand il le faut, n’hésite pas à jouer des à priori que l’on pourrait tenir à son encontre.

Physique

Théa ne possède pas le physique le plus impressionnant qui soit, mais sous des abords plutôt fins se cachent quelques formes et une certaine musculature. Habituée à être sous-estimée, elle n’a pas peur du contact, en vient volontiers aux mains, ayant plus que son lot de combats. Assez pâle et possédant des yeux particulièrement bleus, ses origines nordiques peuvent être devinées. Ses cheveux sont bruns et ondulés. Si elle ne possède presque pas de stigmates de ses différentes activités, une cicatrice orne une partie conséquente de son corps, de l’épaule gauche au milieu du dos. Il s’agit d’une ancienne brûlure, à présent rosée, encore légèrement rugueuse au toucher, mais complètement cicatrisée. D’autres pourraient en être gênés mais, plutôt impudique, elle ne fait plus attention aux regards qu’on peut lui lancer, une fois dans l’intimité. Ne découvrant ordinairement pas plus de peau que nécessaire, et se montrant sous un jour plutôt banal, elle s’éloigne des conventions et des bonnes mœurs avec le sourire, préférant l’aspect pratique à l’esthétique ou à la mode, portant ses cheveux attachés et travaillant en pantalon, avec, en outre, plusieurs armes toujours sur elle.
Pour ce qui est de sa forme lupine, elle possède un pelage brun avec des reflets auburn. Peu large d’épaules, sa taille reste impressionnante pour n’importe quel humain ; ce n’est toutefois pas son atout principal dans le cadre de son travail. Ses deux formes physiques sont similaires et en deviennent un indice non négligeable, pour qui sait chercher.


Histoire

Le jour de sa naissance n’a en lui-même rien de spécial. Le 25 novembre est en vérité un évènement plutôt personnel : sa mère meurt en lui donnant la vie. Tombée, semble-t-il, malade pendant sa grossesse, elle ne résiste pas, on parvient tout juste à sauver son bébé. Malgré sa monoparentalité, le foyer gagne assez bien sa vie, le père étant un homme d’affaire.  Deuxième enfant de la famille, la jeune Maya – de son nom de naissance – a une enfance plutôt calme et bien entourée. Le domicile familial est situé dans une rue animée, et la petite fille passe la plupart de son temps avec les danseuses d’en face. Ces dernières ne manquent pas d’affection, s’occupent bien de la petite. Son aînée de quatre années, Ariane, devient une véritable figure maternelle. Mature avant l’heure, elle prend sur elle de former sa petite sœur, la surnomme Théa.
C’est comme ça que maman voulait t’appeler. Ou Théo pour un garçon.
Sa mère est un véritable mystère, le reste pendant des années. Son fantôme semble parfois flotter, un écho trop loin, à peine perceptible, toujours trop tard. On n’offre que des bribes à la jeune fille, la vérité lui échappe.
Maman était belle, très gracieuse, elle dansait. Papa l’aimait beaucoup. Tu lui ressemblera, en grandissant.
Elle ne peut qu’hocher la tête, grandit sans vraiment s’en rendre compte. Le temps passe, les années suivent et les problèmes adviennent. Elle sait qu’on lui ment. Il y a quelque chose qu’elle est encore trop jeune pour comprendre. Mais comment savoir, comment être sûre ? Les filles de son âge l’évitent, murmurent sur son passage. A vrai dire, elles sont encore plus mauvaises avec Ariane. Pourquoi ? On ne lui répond pas, les regards sont pourtant dédaigneux, méprisants. Son existence se rythme par des corvées, un travail manuel que l’argent familial ne devrait pas rendre nécessaire. L’argent semble pourtant manquer, à chaque fois. Comment ? Il y a beaucoup d’invités, de réceptions, des dîners auxquels elle n’est pas conviée. Sa sœur l’est. Elle ne devrait pas trouver le temps, s’ennuie. Le manque de considération lui coupe le souffle, elle crée un scandale. Son père l’étouffe, Ariane prend le blâme. Ses manières sont mises en causes – son langage aussi. Les deux enfants reçoivent un semblant d’éducation, le foyer devient plus étouffant que jamais. Le mystère plane toujours, lourd, âcre. On l’éloigne temporairement du bâtiment d’en face. Les danseuses lui manquent – elles lui ont appris ses premiers jurons, à coudre, mais aussi à se maquiller et à se battre. Ariane, toujours présente, toujours douce, essaie de lui remonter le moral. Un jour, elle se voit le témoin d’une discutions houleuse avec un des clients de son père. Là au mauvais moment au mauvais endroit, elle fait demi-tour, s’attend  à des remontrances. Malgré les précautions de sa sœur, elle a bien vu les marques, sur son dos. Pourtant rien ne vient. Silence du père, qui la regarde pourtant avec insistance.
Quelques semaines plus tard, elle fait une mauvaise rencontre. Il s’agit du client, mais il n’est pas seul. Une espèce de gros chien l’accompagne – tout va trop vite, le chloroforme fait effet, elle tombe inconsciente. Il semble s’agir d’un groupe violent, décidé à faire payer l’outrecuidance du chef d’affaire ayant refusé de les payer. La plupart des hommes présents sont sans cesse ivres, se battent et se livrent à des jeux dangereux. L’apparent chef s’absente, donne ses ordres. On l’affame, on la frappe – un soir, autour d’un feu de camp et après, pour la première fois, une gentillesse et de nombreux verres partagés, on se décide à la « marquer ».  C’est cette nuit que le chef refait une apparition. Amusé par le zèle de ces hommes, il pousse le jeu plus loin ; et sous ses yeux ébahis, alourdis par la boisson, son corps se modifie. Le cauchemar touche à son paroxysme, des crocs déchirent sa chair, entre l’épaule et la nuque, suivent le contour des brûlures encore fraiches. La douleur  est plus forte que tout – elle vomit tout ce qu’elle a pu ingérer les derniers jours tandis que le monde brûle et tourne tourne tourne.

Toujours en vie ? Encore mieux ! Qu’elle retrouve son père, maintenant.
Pour la première fois depuis ce qui lui parait être une éternité – une semaine en réalité, elle n’est pas gardée enfermée, on la laisse partir. Elle trébuche, son vêtement déchiré et couvert de sang, le dos partiellement brûlé – la douleur est pourtant moins forte et les tissus moins profondément abîmés qu’auparavant. Elle ne comprend pas, reste sonnée. Sans savoir comment, elle retrouve son quartier. La faim la tenaille, l’incompréhension. La lumière lui semble plus forte, les couleurs des vitrines délavées trop vives. Elle vomit après avoir croisé son reflet dans un miroir, des traces de crocs distinctement imprimées dans sa peau. Non non non. Il s’agit d’hallucinations, pas vrai ? Des éclats de voix la guident vers une des salles de banquets qui lui sont interdites et, s’appuyant contre le mur, elle perçoit son nom.
Où est ce qu’elle est ?! Tu ne peux pas la cacher, c’est finis, tout ça, tu va me la rendre, elle est a moi. Tu m’entends ? OU EST-CE QU’ELLE EST, SALE CHIENNE ?!
De faibles protestations, de grands bruits. Les sourcils froncés, elle trébuche mais pousse les battants de la porte, qui claquent violement – trop.
Ariane ? Père ?
Sa voix, rauque, basse, ne porte pas. La scène est terrible, pour elle. Une main sur la bouche, un cri lui échappe. Le visage d’Ariane est tuméfié, elle git au sol, à peine recouverte d’un drap. Des larmes coulent sur ses joues, elle subit en silence. Il y a des vêtements au sol, certains appartiennent à son père. Une porte auxiliaire s’ouvre et un homme, dénudé, récupère ses affaires sans un mot, pas le moins affecté du monde. Elle voit rouge, le monde tourne à nouveau et sa colère se déverse, elle tremble et le sang coule. Assise au milieu de vêtements humides, elle tente de comprendre, d’appréhender la vérité, les vérités qui lui ont échappées pendant si longtemps, brise toutes les digues du déni, accepte à contrecœur le monde dans lequel elle a vécut et vivra désormais. Son épaule ne lui fait presque plus mal, elle n’a plus faim. Un mouvement.
Ariane ?
Le visage de cette dernière tourne au gris, elle ne parvient pas à ouvrir les yeux.
Théa ? Je croyais que tu étais morte, je voulais te rejoindre.
Elle pleure à présent, son corps semble frêle, comme ça, ainsi bleuit.
Je vais retrouver Maya. Tu nous rejoindras, quand le temps sera venu ?
Maya ? Ariane, de quoi est-ce que tu parles ? Tu ne vas nulle part, je suis là !
Maya. Maman


Les jours suivants, son premier réflexe fut de boire jusqu’à oublier.

Cela fait maintenant trois ans qu’elle est devenue chasseuse de prime après avoir changé de nom et de pays, et s’occupe d’effectuer les missions qui paient le mieux dans toute l’Europe. Concentrée sur sa survie et sur ses intérêts, elle a développé une façon de voir le monde très pragmatique, complètement désabusée. Elle se fait relativement discrète, débarque dans la région pour les affaires – une connaissance l’ayant mise en contact avec des clients potentiels.


Un peu de vous

▬ TON PUFF : N'E
▬ TON ÂGE : 20 ans
▬ CODE DU RÈGLEMENT : Validé par moi Very Happy
▬ AS-TU D'AUTRES COMPTES ICI ? : Oh que oui ! Amanda, Stefan, Winath et William
▬ COMMENT AS-TU TROUVÉ CE FORUM ? : ... Hum hum
▬ DISPONIBILITÉ  : ... N'en parlons pas 8D
▬ AS-TU DES QUESTIONS ? : /
▬ AUTRE : :hiha:

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