Au XIXe Siècle, en 1864, dans la région de Stormfield, des créatures rôdent..
Comment survivrez-vous parmi elles ?

 
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On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ? [PV Stefan Salvatore]
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Bélial
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MessageSujet: On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ? [PV Stefan Salvatore] On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ? [PV Stefan Salvatore] Icon_minitimeVen 12 Juil - 9:33

On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ?


Featuring Stefan Salvatore


Bélial avait besoin d’amusement. Il était resté sur Flamdone et devait bien trouver de quoi s’occuper. Il n’avait pas contrat pour le moment et il avait aussi besoin de se nourrir. Il se baladait donc de nuit, cherchant une âme à avaler. Il n’eut pas à attendre longtemps, un vampire semblait avoir pris un peu trop de sang et la victime était à l’agonie. Elle était d’ailleurs seule dans une ruelle sombre et il pouvait alors prendre sa forme démoniaque sans alarmer les gens tardifs. Ca lui faisait du bien de manger mais il avait aussi envie de se balader en forêt. Il devait se trouver un loup ou une louve et ce serait encore plus excitant.

Allant dans un bar, il chercha une louve-garou qu’il pourrait séduire et manipuler à sa guise. Il en trouva une et elle semblait fragile et malléable. Rien de mieux. Elle tombait sous son charme et il n’eut aucun mal à l’emmener ailleurs pour passer un bon moment. Elle avait un esprit faible et il n’eut pas trop de mal à la posséder, elle était épuisée par leurs ébats de toute façon. Il prit alors la forme de loup monstrueuse qui donnait des cauchemars aux enfants. Il était sur deux pattes, et pouvait aussi se déplacer sur quatre. Il gagna très rapidement la forêt, ne voulant pas être vu. Le couvert des arbres avait quelque chose d’apaisant. Il sentait le sol sous ses pattes, sentant le vent dans les poils. Dans son esprit il sentait la louve qui cherchait à comprendre ce qui lui arrivait et qui se sentait aussi grisée par la nouvelle transformation. Elle l’acceptait et ce n’était pas plus mal.

Se dénichant des proies, il nourrit ainsi le loup de chair et de sang frais. Il était rassasié et courrait alors, dans une direction quelconque. Quelques habitations comme des manoirs ne semblaient pas lointain, mais il s’en foutait. Il faisait nuit et pour le moment il se défoulait. Il allait devoir arrêter la possession s’il ne voulait pas utiliser trop de ses forces. La transformation inverse pouvait être douloureuse mais son corps d’origine finit par se détacher de celui de la louve qui finit couchée au sol, inconsciente. Lui resta debout à la regarder en souriant, pour le moment inconscient qu’il était observé.


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Stefan Salvatore
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MessageSujet: Re: On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ? [PV Stefan Salvatore] On ne vous a jamais dit que la curiosité était un vilain défaut ? [PV Stefan Salvatore] Icon_minitimeSam 20 Juil - 13:49



ON NE VOUS A JAMAIS DIT QUE LA CURIOSITE ETAIT UN VILAIN DEFAUT ?❞
Rencontre inopinée
Avec Bélial.



La journée s'écoule sans trop d'encombres. J'ai un objectif, démarre une petite quête personnelle. A la recherche d'un ouvrage particulier, j'écume les librairies, fais le tour des boutiques que je connais, plus ou moins en vain. Sa spécialisation ne le rend pas véritablement populaire : le grand public ne le connait pas et, vu le peu d'exemplaires en diffusion, un grand nombre de spécialistes non plus. J'ai pourtant le désire de le relire. Je l'ai un jour eu en ma possession, aidant même son auteur à se faire publier. C'était toutefois il y a bien longtemps. Ces temps sont révolus, je souhaite juste m'y replonger, retrouver ce livre. J'écume les boutiques, me dis qu'il ne peut qu'être resté dans la région - ce que j'espère, en tout cas. Je ne suis plus certain de la façon dont il a quitté ma garde : perte, vol, oubli ? Toujours est-il qu'il existe quelques exemplaires encore en circulation, je dois au moins en trouver un. S'il le faut, j'en viendrai à déposer des annonces dans le journal...
La ville est plutôt calme, il ne fait pas trop chaud, le soleil est tout de même de sortie.  Se promener est agréable, tout comme le but que je me suis fixé. Après quelques heures de recherches, je le trouve enfin, chez l’antiquaire. Le prix est élevé, je l’accepte pourtant. Je suis à vrai dire heureux de m’en tirer à si bon compte, sans avoir à recourir au bouche à oreille. Cette copie n’est pas la mienne, oui, mais contient, a peu de choses près, tout ce que l’autre détenait – une signature en moins, oui. Mais les souvenirs sont les mêmes, les mots aussi. Je prends place dans un café, me commande une boisson, commence ma lecture. Le bruit vient rapidement à me déranger, tout comme la clientèle, trop nombreuse. J’ai du mal à me concentrer sur les mots, sent bien trop d’émotions contradictoires. Légèrement fatigué, je décide de me retirer, de profiter tranquillement, suivant mes propres conditions, de l’ouvrage que je me félicite d’avoir retrouvé. Le récit de vieilles aventures, de moments que je ne revivrais plus, autrement. Mon livre sous le bras, je rentre sans tarder, hésite entre plusieurs locations, finis par m'installer en haut d'un arbre.
On peut parfois oublier les petits plaisirs mais, là, à voir sans être vu, un livre ouvert sur les genoux, après avoir profité du couché du soleil, je m'autorise un sourire, respire, simplement. Un petite brise rend l'expérience plus agréable encore - jusqu'au moment où elle m'apporte une odeur inconnue. Je fronce le nez, m'arrache à ma lecture. Le terrain est à mon nom, et, bien qu'il donne sur la forêt, la parcelle sur laquelle se tient l'intrus est loin d'être publique. Sans bruits, je referme mon livre et cherche du regard la créature qui s'aventure jusque chez moi. Si le quartier est légèrement plus excentré que la plupart des autres habitations, il faut une certaine dose d'imprudence pour... Je n'ai pas de mal, malgré la nuit, à la repérer. Un être lupin, sur deux pattes. L'odeur du sang l'accompagne. Quelque chose n'est pas naturel, ne va pas. Plusieurs sentiments se mélangent, je ne comprends pas ce que je perçois - jusqu'à ce que la créature, ne m'ayant pas remarqué, change. Deux corps rejoignent le sol. Une louve, à n'en pas douter et.. un homme, qui se redresse tranquillement. Je fronce les sourcils, n'ai jamais entendu parler de.. fusion ? Possession ? d'un loup garou. Je ne connais i ses motivations ni ses réactions, prend sur moi d'essayer de communiquer - il finira bien par m'apercevoir, de toute façon. Je saute de l'arbre, l'interpelle.

- Bonsoir. Bonne balade ?

Une entrée en matière somme toute.. normale, selon les circonstances ? Je tâte encore le terrain, me prépare à plusieurs scénarios.

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