Au XIXe Siècle, en 1864, dans la région de Stormfield, des créatures rôdent..
Comment survivrez-vous parmi elles ?

 
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Adrian Ivashkov - S'attacher c'est s'exposer
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Adrian Ivashkov
Adrian Ivashkov

Carte d'identité
Ville actuelle: Straunbourg
Description Physique:
Relations du personnage:
Humain
Humain
Messages : 30
Date d'inscription : 27/02/2017
MessageSujet: Adrian Ivashkov - S'attacher c'est s'exposer Adrian Ivashkov - S'attacher c'est s'exposer Icon_minitimeVen 5 Juil - 15:07
Adrian Ivashkov
  ▬ NOM : Ivashkov
  ▬ PRENOM : Adrian
  ▬ AGE : 23 ans
  ▬ TYPE : Humain
  ▬ VILLE D'ORIGINE : Flamdone
  ▬ VILLE ACTUELLE : Straunbourg
  ▬ SIGNE PARTICULIER : Rien de très particulier.
  ▬ TITRE : .
  ▬ MÉTIER : Chasseur de prime.
  ▬ DON : Peut s'introduire dans les rêves des gens et aussi y intervenir. Également capable de faire des rêves prémonitoires.
Caractère

Adrian, c'est pas le plus agréable des compagnons. Souvent distant, un peu froid, très professionnel, il est difficile de créer des liens. Il préfère la solitude et il se rend volontairement désagréable pour vous passer l'envie de rester avec lui. Renfermé, il ne parle jamais de lui. Souvent ironique, sarcastique et moqueur, il se cache sous des airs de grand pour ne plus jamais s'attacher à quelqu'un. Au fond cependant, il n'est pas vraiment méchant.

Adrian, il a déjà bien vécu, pour son âge. Baigné dès sa plus tendre enfance dans l'art de la chasse et la réalité des créatures surnaturelles, rien ne l'impressionne plus, désormais. Il en sait beaucoup. Beaucoup trop, sans doute, aux yeux de certains. Implacable, imperturbable, il fait face aux pires créatures sans même ciller. Simplement parce qu'il a appris à le faire. Peur de rien ? Non, sûrement pas. La peur est humaine. Mais il la maîtrise et s'en sert pour devenir plus fort. Il ne la montre pas et la dompte en silence.

On lui a inculqué une vision des choses manichéenne. Soit c'est bien, soit c'est mal. Pire, soit tu es humain et tu peux être laissé en vie, soit tu ne l'es pas et il t'abattra. Si tu as le soulagement d'être sorcier, peut-être qu'il te laissera une chance... Peut-être.

En soit, il n'a pas spécialement un sens de la justice à proprement parlé. Que tu sois dangereux ou pas, si tu es sur son chemin et que tu n'es pas humain, tu ne feras pas long feu. C'est comme ça, on le lui a appris. C'est inscrit dans sa chair si profondément qu'il ne saurait s'en défaire. Et si son avis tranche avec sa tâche... C'est sa tâche qui l'emporte. Ses sentiments ne comptent pas. Jamais. Ce qu'il ressent n'a pas d'importance. Alors il fait ce qu'il a à faire sans discuter. Comme on le lui a appris. Parce qu'il ne sait rien faire d'autre.

Physique

De taille moyenne, la vingtaine, Adrian n'a rien de très particulier. D'une carrure plutôt fine mais non pas moins musclée, il est plutôt banal. Des traits fins, un joli visage, des yeux sombres, très sombres et une peau un peu bronzée, il a un petit air d'ailleurs. Ses ancêtres venaient de loin, il paraît, au Sud. On raconte même qu'ils ont traversés les océans... qui sait ?

Un visage assez carré, un menton bien prononcé, une mâchoire solide mais délicate. Des traits réguliers, séduisants même. Une chevelure soignée, tenue mi-longue. Une coiffure de ces hommes intelligents et bien éduqués, vous savez. Des yeux sombres, bruns, banals. On distingue à peine l'iris de la pupille, si on ne s'approche pas, si la luminosité n'est pas bonne. Un regard envoutant, mais chaleureux. Qui peuvent vous incendier sur place.

Dans l'ensemble, Adrian est plutôt fin, harmonieux. Il ne ressemble pas à un gros tas de muscles. Pourtant, ils ne sont pas absents, et se dessinent fièrement s'il consent à les exposer. Ça n'est juste pas sa priorité. Loin de là. Ils n'ont qu'un rôle fonctionnel : se battre. Mais leur utilité ne doit pas entraver sa rapidité, alors pas question de s'encombrer de kilos de muscles inutiles ; il doit pouvoir bouger librement et rapidement sans encombre.

Dans l'ensemble, il est plutôt pas mal, je l'avoue. Ces dames se jetteraient sans doute à ses pieds si la dignité ne les en retenait pas. On ne se jette pas au pied d'un gentleman de la sorte.


Histoire

Une enfance rapide, trop courte, trop vite oubliée. Un père stricte, qui élève souvent la voix, reprend, corrige. Une mère douce, tendre, mais qui savait que la fermeté était nécessaire. Trop vite oubliée, elle aussi. Depuis toujours, Adrian sait. On ne lui cache rien, on lui dit ses quatre vérités en face, on n'hésite pas à être cru, on oublie même que ce n'est encore qu'un enfant. Au moindre faux pas, il est sévèrement repris. Outre l'éducation de base de la société, il apprend à se battre, potasse des bouquins sur les créatures surnaturelles, liste leurs faiblesses, apprend à les exploiter, à les reconnaître. On lui enseigne l'art de l'équitation, l'escrime, le tir (arc, arbalète et arme à feu comprises), le combat à mains nues, au bâton, au sabre, et sans doute beaucoup d'autres encore. Chaque matin, il est envoyé courir une quinzaine de kilomètres minimum. On l'accompagne pour s'assurer qu'il ne marche pas. Jamais. Lui impose un rythme soutenu. Augmente progressivement la distance et la cadence. On ne lui laisse aucun répit.

Lorsqu'il émet des doutes, demande pourquoi on l'entraîne aussi dur, on lui répond que c'est le seul moyen de survivre dans ce monde. Il finit par en être convaincu. Prend l'initiative d'allonger lui-même ses entraînements. Cherche de nouveaux professeurs. S'intéresse à plus de sujets. Apprend à se défaire de n'importe quel lien ou menotte, à crocheter des serrures, à ouvrir des coffre, à ne laisser aucune trace, à camoufler son odeur, à être ultra silencieux.

On lui apprend l'art de se fondre dans une foule, de se glisser entre les corps des passants sans déranger, quelle que soit son allure. On lui enseigne la manipulation, le mensonge, les non-dits et comment les reconnaître chez son interlocuteur. On reprend chacune de ses expressions sévèrement ; il ne doit pas afficher de sentiments. Pas quand il travaille. On lui définit ce qu'est le bien et le mal. Ne laisse la place à aucune zone grise. On lui apprend à défendre le bien. À ne pas encourager le mal. On le juge prêt à assister à des interrogatoires. Il assimile les informations à une vitesse vertigineuse, se sait désormais capable de torturer s'il le faut.

À 11 ans seulement, le voilà sur le terrain pour parfaire ses méthodes. Accompagné de son père qu'il suit dans ses pérégrinations, il est encouragé à mettre son cerveau à profit. Se révèle doué. La fierté de son paternel n'égale pas sa sévérité. Mais elle brille dans ses yeux malgré tout. Sa mère, elle, est comblée. Il sera toujours son fils prodige à ses yeux. Mais la famille cache des histoires sombres. Des histoires qu'on lui raconte avec le temps. Des histoires macabres, sanglantes. Ils ne sont pas tous nés dans la chasse comme lui, et l'ont souvent payé de leurs vies. Il comprend pourquoi on a été aussi dur, aussi rigide. Il les remercie en silence.

Et puis bientôt, c'est sa propre histoire sanglante qui se forme. À tout juste 15 ans, il voit sa mère se faire assassiner. Il en reste pétrifié. Ses doigts tremblent sur son arme, se resserrent, s'y accrochent. Il dégaine lentement son poignard, les yeux sanglants le transpercent. Les lèvres dégoulinent de sang. Il lève son arme, se met en position de défense, s'apprête à attaquer. Mais le vampire lui sourit, avant de s'enfuir par la fenêtre, emportant le corps de sa mère. Il réagit au quart de tour, se précipite pour le suivre... Mais tout a déjà disparu. Sauf le sang qui macule encore les draps blancs.

Dès lors, tout bascule. Son père se renferme davantage, ne l'invite plus à le suivre, le juge prêt à faire cavalier seul. Ce n'est pas l'avis d'Adrian. Pour lui, il serait plus sécuritaire de faire équipe. Mais son père est catégorique. Il ne veut plus de lui dans ses pas. Ça le blesse. Il l'accepte difficilement. Désormais seul pour ses missions, il se fait une splendide réputation. Il ne rate pas ses cibles. Est terriblement efficace. Il commence à se faire craindre, et voit ses premiers ennemis apparaître ; les premiers envieux aussi.

Il n'avait pas compris l'attitude de son père. Jusqu'à ce qu'il rentre un soir et découvre du sang. Il suit les traces jusqu'à son bureau, le découvre mort, mortellement blessé. Mais il a écrit une note. Une unique note. "Retrouve-la". Une écriture laborieuse, inégale, tremblante. Il retourne la note, y découvre la photo de sa mère. Il lui faut un moment pour comprendre. Elle n'est pas morte. Elle a été transformée. Ses jambes se liquéfient. Automatiquement, il s'équipe, part sur les traces de son père à la recherche de la créature qui habite désormais sa mère. La retrouve au prix de quelques jours.

Elle le reconnaît, bien sûr. Elle semble bouleversée. Bredouille qu'elle ne voulait pas leur faire de mal, ni à lui, ni à son père. Les doigts ne tremblent pas sur l'arme. Il lève lentement le bras, très lentement, l'arme au bout du poing. Regarde sa mère dans les yeux, son visage encore tâché de sang. N'arrive pas à tirer. Elle ne bouge pas. Sanglote mais ne se protège pas. Lui murmure qu'elle l'aime. Il détourne le regard. Tire. Une unique balle. En plein front. Le corps tombe. Raide. Inerte. Le souffle court, les doigts tremblants, il range l'arme. Regarde sa mère étendue sur le sol. Se détourne. Dévasté.

Dès lors, il se renferma. Il ne s'autorisa plus aucune relation, pas même amicale. Fait son travail. Déménage à Straunbourg où le mal sévit. Est payé. Tourne les talons. Redisparaît. Il n'est pas capable d'avoir à refaire ça. Il n'est plus capable de s'attacher à qui que ce soit. Terrifié à l'idée de les mettre en danger. Ou de devoir les achever.

Un peu de vous

▬ TON PUFF : Lea-angels
  ▬ TON ÂGE : 19 ans
  ▬ CODE DU RÈGLEMENT : Pfft !
  ▬ AS-TU D'AUTRES COMPTES ICI ? : Damon, Aurore, Vasilissa, Lanawyn, Aranwë
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  ▬ AS-TU DES QUESTIONS ? : En ai-je l'air ? :3
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